HAWAÏ, LE VOYAGE DE RÊVE

Rêver un impossible rêve, porter le chagrin des départs, brûler d’une possible fièvre, partir où personne ne part… (Jacques Brel, la Quête)

A moins d’être américains ou très riches, Hawaï n’est pas une destination courante. C’est un voyage d’exception que l’on se doit de préparer minutieusement, de mijoter à feu très doux et de savourer avec délectation.

En 2017, après une période de turbulences dans ma vie et profitant d’un héritage, j’ai décidé d’organiser ce voyage au bout du monde et en famille.

Comme bon nombre de personnes, Hawaï, pour moi, c’était de longues plages de sable blanc, une eau émeraude et des surfeurs bronzés et musclés risquant leur vie sur des vagues impressionnantes. Lorsque nous avons choisi cette destination, c’était dans l’idée d’en avoir pour tous les goûts : du repos et du soleil pour moi et des activités plus sportives pour les hommes. Si vous avez la même idée que moi sur cette île, je vais vous étonner et peut-être même vous décevoir, tant cela est loin de la réalité.

Tout d’abord, Hawaï est un archipel constitué de 137 îles dont 8 principales et chacune est différente des autres. Lors de ce voyage de 15 jours, ce qui est un minimum pour cette destination, nous avons choisi 3 îles : Ohahu, Kauai et Big Island. Avec le recul, une semaine de plus nous aurait permis de découvrir Maui qui, apparemment, est encore plus belle que les autres.

Commençons par le commencement : les vols. Nous sommes partis en février et c’était une période très agréable, sans la foule et avec de très belles journées ensoleillées. Pour l’aller, le vol faisait escale à San Francisco. C’est long, très long mais c’est loin, très loin, alors on prend son mal en patience et on dort quand on peut parce que, quand on arrive, même si on vient de faire le tour du cadran, on a quand même envie de se jeter immédiatement dans le bain.

Pour le retour, j’avais choisi de passer deux jours à Los Angelès, une occasion de visiter cette ville, qu’aucun de nous ne connaissions et que nous n’avions plus l’intention de revoir.

Ohahu, avec sa célèbre capitale Honolulu, est une étape incontournable car les vols atterrissent ici et, après un si long voyage, il est bon de faire une halte courte, en guise de mise en bouche. Deux, voire trois jours suffiront amplement pour l’ île la plus « américaine » de l’archipel.

Comme souvent pour mes voyages, tous les logements ont été réservés sur Airbnb et ils étaient parfaits. Pour la location des voitures, nous sommes passés par Rentalcars et au dire du personnel des agences, nos prix étaient très compétitifs.

OHAHU

Honolulu est la ville américaine par excellence. De grandes avenues, de grands hôtels, et la célèbre plage de Waikiki, celle que vous imaginiez, avec les planches de surfs, et les beaux surfeurs dessus. C’est sympa d’y passer quelques heures, surtout en fin d’après midi jusqu’au coucher du soleil. Vous avez la douce impression d’être riches, beaux et célèbres et cela vous récompense d’avoir traversé le monde. Le soir venu, promenez-vous sur le grand boulevard ou dans les rues bordées de magnifiques résidences ou encore dans l’un des centres commerciaux qui vous proposent un grand choix de restauration exotique : chinois, mexicains ou italiens, vous n’aurez que l’embarras du choix. Vous dégusterez vos barquettes sur le pouce, attablés ou sur un banc… à l’américaine, quoi!

Le lendemain, début des festivités avec la visite de Pearl Harbour, la base américaine bombardée par les japonais le 7 décembre 1941. Même si on n’est pas férus d’histoire, on ne peut pas faire l’impasse sur ce site. Si vous voulez être un peu tranquilles, il faut y aller très tôt le matin, vers 7h, même sans réservation. Vous pouvez y passer 2,3 ou 4 heures, tout dépend de vos centres d’intérêt.

L’après-midi, direction la réserve naturelle de la baie d’Hanauma, ses eaux cristallines et ses poissons de toutes les couleurs. Avant de vous laisser profiter des joies du snorkelling et du farniente, on vous fait passer par une salle vidéo où on vous informe sur la bio diversité et où on vous fait jurer (oui, oui jurer, ce n’est pas une blague) que vous allez vous comporter de manière exemplaire avec la faune et la flore. Peut-être devrions-nous en faire autant sur nos sites protégés? Premières plongées donc, premiers coups de soleil aussi (le soleil ne rigole pas ici) et, devant nos yeux ébahis, premiers coups de reins d’une majestueuse baleine, au loin. Çà y est, on est au paradis… enfin, au 1er étage !

Après une nuit réparatrice, nous partons de bonne heure pour l’ascension du cratère Diamond Head. 3 heures de marche et de grimpette mais la vue splendide sur la baie d’Honolulu compense largement l’effort. L’après-midi, après un déjeuner de crevettes ( il y a plein d’élevages de crevettes sur la côte), petit treck à la recherche des tortues de mer. Nous n’en avons pas trouvées mais nous nous avons découvert nos premiers banyans, des arbres centenaires qui prennent racine à l’infini. Pour finir la journée, nous nous sommes arrêtés, pour un deuxième snorkelling, dans une piscine naturelle, entourée de rochers. Le site semble à première vue très paisible et sécurisé mais, attention, l’océan est indomptable et la piscine peut se remplir et déborder en un clin d’oeil, vous projetant sur les rochers avec une force incroyable.

Ces deux premiers jours m’ont mis la puce à l’oreille : entre les trecks, la mer violente et les réveils à l’aube, ce n’est pas le voyage que j’avais envisagé et ce n’est pas ici que je vais me reposer !

Le soir, nous avons fait honneur au cocktail de l’île , le Maitai, un mélange de rhum, de curaçao et de sirops, absolument délicieux mais absolument détonnant. Je peux vous dire que personne n’a eu besoin d’être bercé pour dormir!

KAUAI

30 mn séparent Ohua de Kauai et les vols s’effectuent sur de petits avions de la compagnie locale. Nous atterrissons à Lihue. Cette île est surnommée l’île jardin. Quand on voit les grappes multicolores de bougainvilliers poussant comme des parasites sur tous les arbres, on comprend pourquoi. Notre première étape est la petite ville de Waiméa, dans le sud de l’île, point de départ idéal pour le canyon de Waiméa. Notre maison était une charmante maison de pêcheurs en bois, à 100 mètres de l’océan. Quel plaisir de préparer un Maitai maison ( et moins sévère que le vrai) et de le déguster sur la plage, en admirant le coucher du soleil! Nous étions quasiment seuls sur cette plage et, une fois de plus, nous nous serions crus au paradis… enfin, au 2ème ciel !

Très tôt le matin, sous une pluie fine, nous partons à la découverte du canyon Waimea, le petit frère du Grand Canyon. Des paysages à vous couper le souffle, des couleurs incroyables, l’impression d’être infiniment petits devant une nature infiniment grande et qui nous a souvent laissés bouche bée. Au sommet du canyon, un restaurant douillet avec feu de cheminée, un endroit paisible où j’ai attendu patiemment les hommes partis faire une randonnée.

Lorsqu’on décide de faire un tel voyage, on essaie de ne pas faire les choses à moitié, même si c’est couteux. Ainsi, le must à faire sur cette île sauvage, c’est un survol en hélicoptère. Et pour faire monter l’adrénaline au maximum, on le fait portes ouvertes. N’hésitez pas, ça en vaut vraiment le coup ( et le coût). Ce que vous découvrez est inimaginable. Le centre de l’île est en fait un énorme caillou, inhabité, avec de fabuleuses cascades et parmi elles, celle rendue célèbre par Jurassic Parc, un des nombreux films tournés ici. Mais le meilleur est à venir. Lorsque vous atteignez l’autre côté de l’île, vous découvrez la Napali Coast, une côte sauvage de 16 kms, comme découpée au ciseau. Cette côte est inaccessible par la terre. On ne peut la voir que du ciel ou de la mer. C’est une pure merveille ( paradis, 3ème ciel). D’ailleurs, il nous a fallu un moment avant de récupérer après l’atterrissage et la dégustation gratuite de rhum à la rhumerie d’à côté a franchement été la bienvenue.

C’est avec regrets que nous avons laissé notre petite maison de l’océan pour traverser l’île et rejoindre la ville de Kaapa, ville de surfeurs, ville plus « américaine » aussi. Notre logement faisait partie d’une superbe résidence que j’ai retrouvée un peu plus tard dans le film The descendants, avec George Clooney. Eh oui, Hawaï, c’est ça! A part la beauté des lieux, une sorte de falaise balayée par l’océan, une végétation luxuriante et les sauts de baleines à l’horizon que vous admirerez de votre balcon pendant votre petit déjeuner, il n’y a pas grand chose à faire ici. Nous n’y sommes venus que parce que c’était le début d’un treck d’une journée que mes garçons voulaient faire. pour nous, ce fut donc une pause bien méritée, avec grasse matinée et baignade en bas de la falaise.

BIG ISLAND

Notre départ pour Big Island a été un peu contrarié par une tempête tropicale qui nous a cloués à l’aéroport une journée entière. Nous sommes en plein milieu du Pacifique et ce genre de problème peut survenir à n’importe quel moment. Les hawaïens sont très gentils mais ils ne sont pas très efficaces en matière de gestion de crise et d’information. tant et si bien que nous étions dans les derniers à recaser pour la nuit. Je vous passe les détails mais la seule solution qui nous a été offerte a été de sauter (vraiment c’était ça : vite, prenez cet avion, il va partir..) dans le premier avion venu pour Honolulu, de passer la nuit dans un hôtel proche de l’aéroport, puis de revenir en avion le lendemain pour repartir sur Big. Bon, ma foi, pourquoi pas? Ce n’était pas trop grave, mis à part la nuit perdue et un jour de location de voitures à Big, mais ce sont les aléas des voyages.

Première étape : Kona, la ville où le capitaine Cook a trouvé la mort en 1779. Notre appartement était près de la mer, toujours aussi splendide et déchainée et nos Maitai au coucher du soleil ont parfois été plus arrosés que prévu. Ce côté ouest de l’ile est très fleurie, avec de superbes plages et de jolies baies où viennent régulièrement nager les dauphins, le matin très tôt. Donc, réveil aux aurores et petit déjeuner dans les sacs, nous voilà partis, deux jours de suite, à la rencontre des dauphins. Quelle expérience! Presque personne, un calme assourdissant, le soleil qui pointe son nez, l’eau qui scintille et tout d’un coup, au loin, des ailerons qui se rapprochent. Non, je ne suis pas allée nager avec eux, car la mer est dangereuse et je ne suis pas une assez bonne nageuse, mais les garçons y sont allés et ce qu’ils ont vu valait bien tous les risques encourus. Pendant ce temps, j’ai eu l’occasion de discuter avec une vielle américaine vivant ici la moitié de l’année. Elle vient boire son thé tous les matins en regardant batifoler les dauphins. Je l’ai enviée et me suis promis de revenir moi-aussi passer un peu de temps dans ce coin, avec les dauphins pour seuls compagnons.

Nous sommes ensuite allés visiter une plantation agricole où tout est à disposition du visiteur. Vous vous servez, simplement et gratuitement. Vous grimpez un sentier parmi les plants de café, les orangers, les plants d’ananas et surtout, les macadamia. Vous récoltez autant de noix que vous voulez, c’est le fruit local. Arrivés tout en haut de la plantation, on vous offre même un café maison. Libre à vous d’en acheter mais il n’y a aucune obligation. Pour finir, le propriétaire vous ramène en 4×4 à votre point de départ. What else?

Nous avons quitté Kona pour traverser l’ile jusqu’à Volcano, en passant par le Mauna Kea, un volcan éteint depuis 4500 ans, point culminant de l’ile (4207 m). Nous voulions être au sommet au coucher du soleil. Nous avons longé une belle côte ciselée et fouettée par une mer toujours aussi déchainée. Nous nous sommes arrêtés plusieurs fois pour profiter des points de vue et surtout dans une baie presque déserte où de grosses tortues de mer se font bronzer en baillant aux corneilles. Quel spectacle ! (paradis, 4ème ciel)

En fin d’après-midi, après avoir enfilé, sur le bord de la route, des vêtements chauds, nous sommes arrivés au centre d’information à mi-chemin du sommet du Mauna kea. Ce centre organise des conférences en plein air, la nuit, sur les étoiles et la voie lactée. Ce volcan est le sommet le plus élevé d’Hawai et, parce qu’il se situe au-dessus des nuages, sert d’observatoire au monde entier. Son nom signifie Montagne blanche à cause de l’enneigement de son sommet. Et nous, comme des centaines d’autres touristes, nous sommes allés voir le soleil se coucher au-dessus des nuages. Nous étions transis de froid, oppressés par l’altitude et très émus par cette beauté unique. Alors, là, c’est évident, nous étions au 5ème ciel du paradis.

Il était tard, très tard, lorsque nous sommes arrivés dans la jolie maison de Volcano. Non seulement cette maison était splendide, mais les propriétaires nous avaient laissé des friandises et même de quoi nous restaurer avec un petit mot : « Nous savons que vous allez arriver tard sans avoir fait de courses, alors, servez-vous. » Grande classe!

Bon, il est temps de passer aux choses sérieuses. Réveil à 4h du matin pour voir le soleil se lever sur le volcan Kilauea, volcan en activité et qui a explosé en 2018 ravageant bien des sites que nous avons visités, notamment cette jolie piscine d’eau chaude où de petits poissons s’affairaient pour manger vos peaux mortes.

Imaginez le moment : nous sommes seuls au monde, il fait nuit noire, nous nous guidons avec nos portables. Et là, devant nous, le cratère en feu du volcan. On pouvait même en entendre le souffle, les flammes dansaient, là devant nous. Jamais vu quelque chose de si impressionnant.

Nous avons grimpé dans la nuit, un chemin visiblement interdit au public, pour atteindre une plate forme d’observation où d’autres personnes observaient en silence ce fabuleux spectacle. Ce qui m’a le plus impressionné, c’est le silence de ce lieu. Les gens se blottissaient les uns contre les autres, les yeux rivés sur les flammes, chuchotant au lieu de parler, comme pour ne pas réveiller plus le volcan. (paradis 6ème ciel)

Peu à peu, le ciel s’est éclairci et a rosi et peu à peu, les flammes ont disparu. Je ne m’explique pas ce phénomène. Elles étaient sûrement là, mais plus visibles dans l’obscurité. Peu à peu, les gens se détendaient, et reprenaient leurs conversations à voix haute. Il était temps de partir et d’aller déjeuner dans notre jolie maison. Décision fut prise d’en profiter un peu pour se détendre et faire une sieste.

Le paysage autour du volcan est impressionnant. La dernière explosion datait de 1999 et les coulées de lave semblent s’étaler à l’infini. Je me demande bien à quoi ça ressemble aujourd’hui!

Pour finir ce superbe voyage, nous avons décidé de prendre un bateau, de nuit et de nous approcher des coulées de feu du volcan. Nous avions vu des photos, sans réaliser vraiment ce que cela pouvait représenter et nous sommes partis avec l’impression de jouer les touristes. Mais cette expérience fut la plus marquante de tout le voyage et là, réellement, nous avons atteint le 7ème ciel du paradis.

Nous sommes donc partis de nuit, dans un bolide, à travers les immenses vagues de cet océan indomptable. Vous avez intérêt de vous accrocher et surtout de ne pas avoir le mal de mer. Heureusement pour moi, j’ai été placée à l’arrière du bateau, j’ai donc été un peu protégée des vagues. Puis le bateau ralentit et on perçoit au loin, une côte avec quelques éclairages épars. Mais surtout, on voit des coulées de lave, sur la côte, des coulées orangées et brûlantes, et on se demande comment c’est possible et surtout si ce volcan ne va pas nous péter dans les doigts, là, tout de suite.

Enfin, le bateau s’arrête et là, à quelques mètres de nous, une cascade de feu, violente, terrifiante. Une chaleur de plus de 1000 degrés, une force incroyable. Du feu qui tombe dans l’eau en bouillonnant, et nous, à côté, tournoyant sur nous mêmes. Plus un bruit dans le bateau, nous étions comme hypnotisés par ce spectacle, inquiets aussi: une mauvaise manœuvre, et hop ! Je ne sais plus combien de temps nous sommes restés là, à voir cette lave vivante s’engloutir indéfiniment dans l’océan. Mais je sais qu’il nous a fallu beaucoup de temps pour redescendre sur terre après cette expérience. Nous étions pâles et tremblants : ce 7ème du ciel du paradis avait vraiment un fort goût d’enfer.

Voilà, notre voyage se termine gentiment. Encore quelques balades, encore des cascades et de jolis paysages, mais nous étions tellement montés haut que plus rien n’arrivait à nous impressionner. La côte est de Big Island est totalement différente de la côte ouest. C’est plus local, avec des maisons en bois et pas de grosses villes. C’est vraiment très agréable. Dans la jolie ville de Hilo, nous avons fait nos dernières ( ou premières) emplettes.

Avant de finir, il me faut quand même satisfaire votre curiosité sur la nourriture que l’on peut trouver à Hawai. Comme vous vous en doutez, il y en a pour tous les goûts, ces îles brassant toutes les cultures et donc, toutes les gastronomies. Évidemment, vous mangerez aussi selon votre budget car, ne nous voilons pas la face, tout est cher ici. Il vous suffira de faire un tour au supermarché pour vous en apercevoir. Même si on a souvent l’impression d’être aux USA, il faut se souvenir que nous sommes perdus au milieu du pacifique et que tout, à part les fruits et légumes locaux ou le poisson, est importé.

Le plat local, dont nous nous sommes régalés chaque jour, c’est le Poke. Il s’agit de poisson cru mariné que vous mangez dans un bol ( poke bowl) avec une base de riz et de légumes que vous choisissez selon votre goût. Depuis 2017, j’en vois de plus en plus en France. Il y a désormais des bars à Poke et les japonais les ont mis sur leurs cartes. Mais je n’ai jamais retrouvé le goût du vrai Poke Hawaien. Là bas, vous l’achetez en poissonnerie ou au rayon poissonnerie des supermarchés. Vous choisissez votre poisson, tout frais, mariné depuis le matin. Vous prenez la quantité que vous voulez, car vous payez au poids. Pour déguster vos bowls, vous essayez de trouver une table en bois libre, ou un banc, ou vous mangez dans votre voiture ou sur le sable. Bref, vous vous débrouillez, c’est du fast food mais du fast food healthy et addictif. Ce qui est certain, c’est que vous adorerez.

A part cela, vous ne pourrez pas passer à côté des fabuleux hamburgers. Ils sont énormes, savoureux et là, non plus, vous ne regretterez rien, sauf si vous êtes au régime, bien sûr! Le plus sage, c’est de partager, mais bon, parfois…

Voilà, je crois avoir fait le tour de tout ce qu’il est possible de faire dans ces 3 îles et j’espère vous avoir donné envie de vous lancer dans l’aventure. Bien sûr, je ne vous ai pas parlé du budget à prévoir. Honnêtement, je serais incapable de vous donner une évaluation. C’est loin, c’est cher, mais parfois, il est des occasions que l’on doit marquer et qui en valent la dépense. Pour nous, cela restera un souvenir merveilleux dédié à mon père et qui sera pour toujours gravé dans nos mémoires.

Chantal cadoret

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